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Notre Centre

Intégrer l’équité en santé et les déterminants sociaux de la santé à la pratique de la santé publique au Canada.

Au Centre de collaboration nationale des déterminants de la santé (CCNDS), nous fournissons au milieu de la santé publique du Canada les données et les ressources nécessaires pour agir sur les déterminants sociaux de la santé afin de combler le fossé entre les personnes les plus en santé et les moins en santé.

Nous travaillons avec les professionnels du secteur de la santé publique à accélérer l’application des connaissances — dans les pratiques, les politiques et les processus décisionnels — afin de favoriser les améliorations sociales essentielles à la santé pour tous.

Le CCNDS est l’un des six centres de collaboration nationale financés par l’entremise d’un programme de l’Agence de la santé publique du Canada.

Nos bureaux sont situés à l’Université St. Francis Xavier (StFX) (en anglais) à Antigonish, en Nouvelle-Écosse (Mi’kma’ki).

L’Université fait figure de proue en matière de justice sociale depuis les années 1920, moment de la création du mouvement Antogonish (en anglais). Le Père Jimmy Thompkins et le Père Moses Coady, Ph. D., ont lancé le mouvement localement en réponse à la pauvreté frappant les groupes défavorisés de l’Est du Canada. L’Université a très vite créé un département de l’enseignement postscolaire (en anglais) afin d’enseigner et d’utiliser les actions communautaires et les méthodes d’éducation aux adultes. Après la Seconde Guerre mondiale, le Coady International Institute (en anglais) a vu le jour. Sa mission consistait à étendre les activités à un auditoire international. L’Institut jouit d’une renommée internationale comme centre d’enseignement sur le leadership axé sur le développement communautaire. En accueillant le CCNDS dans ses murs, l’Université affermit sa détermination à mettre les connaissances au service du changement social.

Nous tenons à reconnaître le territoire sacré sur lequel se situent nos bureaux. Nous reconnaissons que nous nous trouvons en Mi’kma’ki, le territoire ancestral non cédé du peuple micmac. Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Micmacs et les Wolastoqiyik/Wəlastəkwiyik (Malécites) ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1725. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Micmacs et des Wolastoqiyik/Wəlastəkwiyik (Malécites) et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations. Nous reconnaissons ce territoire et en remercions le peuple micmac qui continue d’entretenir un lien avec ces terres depuis des générations. Nous reconnaissons en outre la réalité du colonialisme qui perdure depuis très longtemps.

Parce que nous respectons cet important travail de réconciliation, nous vous encourageons à communiquer avec nous si vous avez des suggestions qui nous permettraient d’améliorer la déclaration ci-dessus.